
« La pandémie pourrait avoir raison des colonies de vacances, menacées par la marchandisation rampante des loisirs des enfants. C’est tout un patrimoine pédagogique et éducatif qui risque de disparaître ».-
Libération.fr. Edition du 24 avril 2020
Les Céméa (Centres d’entrainement aux méthodes d’éducation actives), les Éclaireuses et Éclaireurs Unionistes de France et de nombreux acteurs du champ socio-éducatif ont publié une tribune « pour que vivent les colos », que nous partageons.
Les colos, « forment à l’engagement. [Elles] pourraient être des lieux d’expérimentation au présent pour les jours d’après, vers un monde plus durable. Cela reste possible si et seulement si les associations organisatrices passent l’été sans disparaître, si le gouvernement décide d’une aide d’urgence qui deviendra une politique publique spécifique aux colos ».
Libération.fr. Edition du 24 avril 2020
Avec eux, interpellons le Président de la République et le Premier Ministre pour « garantir un avenir aux colos » !
Le texte publié dans Libération est également accessible depuis le site des CEMEA et il vous suffit de suivre ce chemin pour signer la pétition numérique : https://www.change.org/p/pour-que-vivent-les-colos.